Carnet "Pages blanches pour qui n'a pas peur du vide" - risographie
Voilà longtemps que j’ai envie de mettre un pied dans la papeterie. M’éloigner des claviers et des écrans, préférer toujours ou souvent le toucher du papier, le glisser feutré du crayon, lisse d’une bille, acéré d’une plume. Laisser la trace de l’essai, laisser la place à la rature, au gribouilli qui aide à penser, à réfléchir, à aligner les pensées en dessinant des cercles. Dans un désir d’éloignement du digital pour tout ce que l’on peut faire dans la matière et avec des outils qui ne nous échappent pas.
64 pages, A6 et souple pour se glisser dans une poche de pantalon ou un sac banane, pour s’emmener partout. Au début de chaque carnet, il y a un petit texte que j’ai écrit. Comme une invitation peut-être à écrire ou dessiner, à suspendre le temps, à le prendre, à se lancer en tout cas.
"Pages blanches pour qui n'a pas peur du vide" peut donner le vertige. Certain.e.s adorent cette adrénaline, d'autres la fuient. Un carnet c'est un espace que l'on se permet d'envahir avec sa conscience, ses rêves et son imagination. Précieux.
Imprimé en risographie par https://www.hotel-leon.fr/
Voilà longtemps que j’ai envie de mettre un pied dans la papeterie. M’éloigner des claviers et des écrans, préférer toujours ou souvent le toucher du papier, le glisser feutré du crayon, lisse d’une bille, acéré d’une plume. Laisser la trace de l’essai, laisser la place à la rature, au gribouilli qui aide à penser, à réfléchir, à aligner les pensées en dessinant des cercles. Dans un désir d’éloignement du digital pour tout ce que l’on peut faire dans la matière et avec des outils qui ne nous échappent pas.
64 pages, A6 et souple pour se glisser dans une poche de pantalon ou un sac banane, pour s’emmener partout. Au début de chaque carnet, il y a un petit texte que j’ai écrit. Comme une invitation peut-être à écrire ou dessiner, à suspendre le temps, à le prendre, à se lancer en tout cas.
"Pages blanches pour qui n'a pas peur du vide" peut donner le vertige. Certain.e.s adorent cette adrénaline, d'autres la fuient. Un carnet c'est un espace que l'on se permet d'envahir avec sa conscience, ses rêves et son imagination. Précieux.
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Voilà longtemps que j’ai envie de mettre un pied dans la papeterie. M’éloigner des claviers et des écrans, préférer toujours ou souvent le toucher du papier, le glisser feutré du crayon, lisse d’une bille, acéré d’une plume. Laisser la trace de l’essai, laisser la place à la rature, au gribouilli qui aide à penser, à réfléchir, à aligner les pensées en dessinant des cercles. Dans un désir d’éloignement du digital pour tout ce que l’on peut faire dans la matière et avec des outils qui ne nous échappent pas.
64 pages, A6 et souple pour se glisser dans une poche de pantalon ou un sac banane, pour s’emmener partout. Au début de chaque carnet, il y a un petit texte que j’ai écrit. Comme une invitation peut-être à écrire ou dessiner, à suspendre le temps, à le prendre, à se lancer en tout cas.
"Pages blanches pour qui n'a pas peur du vide" peut donner le vertige. Certain.e.s adorent cette adrénaline, d'autres la fuient. Un carnet c'est un espace que l'on se permet d'envahir avec sa conscience, ses rêves et son imagination. Précieux.
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