Carnet "Un café très serré contre soi-même" - risographie

12,00 €

Voilà longtemps que j’ai envie de mettre un pied dans la papeterie. M’éloigner des claviers et des écrans, préférer toujours ou souvent le toucher du papier, le glisser feutré du crayon, lisse d’une bille, acéré d’une plume. Laisser la trace de l’essai, laisser la place à la rature, au gribouilli qui aide à penser, à réfléchir, à aligner les pensées en dessinant des cercles. Dans un désir d’éloignement du digital pour tout ce que l’on peut faire dans la matière et avec des outils qui ne nous échappent pas.

64 pages, A6 et souple pour se glisser dans une poche de pantalon ou un sac banane, pour s’emmener partout. Au début de chaque carnet, il y a un petit texte que j’ai écrit. Comme une invitation peut-être à écrire ou dessiner, à suspendre le temps, à le prendre, à se lancer en tout cas, se lancer sur les pages vides.

J'ai une affection très particulière pour ces moments un peu fumants du matin, quelle que soit la saison, en solitaire, quand on peut s'attarder sur ce qui nous entoure, regarder au loin et dans le vague ou très précisément en soi. J'aime le café, tout ce qu'il raconte, sa force, sa douceur, comme il enveloppe, comme il éveille, toutes ses facettes. J'ai l'impression qu'il me rend fertile en idées et je le trouve alors indissociable d'un carnet. Un moment à soi.

Imprimé en risographie par https://www.hotel-leon.fr/

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Voilà longtemps que j’ai envie de mettre un pied dans la papeterie. M’éloigner des claviers et des écrans, préférer toujours ou souvent le toucher du papier, le glisser feutré du crayon, lisse d’une bille, acéré d’une plume. Laisser la trace de l’essai, laisser la place à la rature, au gribouilli qui aide à penser, à réfléchir, à aligner les pensées en dessinant des cercles. Dans un désir d’éloignement du digital pour tout ce que l’on peut faire dans la matière et avec des outils qui ne nous échappent pas.

64 pages, A6 et souple pour se glisser dans une poche de pantalon ou un sac banane, pour s’emmener partout. Au début de chaque carnet, il y a un petit texte que j’ai écrit. Comme une invitation peut-être à écrire ou dessiner, à suspendre le temps, à le prendre, à se lancer en tout cas, se lancer sur les pages vides.

J'ai une affection très particulière pour ces moments un peu fumants du matin, quelle que soit la saison, en solitaire, quand on peut s'attarder sur ce qui nous entoure, regarder au loin et dans le vague ou très précisément en soi. J'aime le café, tout ce qu'il raconte, sa force, sa douceur, comme il enveloppe, comme il éveille, toutes ses facettes. J'ai l'impression qu'il me rend fertile en idées et je le trouve alors indissociable d'un carnet. Un moment à soi.

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Voilà longtemps que j’ai envie de mettre un pied dans la papeterie. M’éloigner des claviers et des écrans, préférer toujours ou souvent le toucher du papier, le glisser feutré du crayon, lisse d’une bille, acéré d’une plume. Laisser la trace de l’essai, laisser la place à la rature, au gribouilli qui aide à penser, à réfléchir, à aligner les pensées en dessinant des cercles. Dans un désir d’éloignement du digital pour tout ce que l’on peut faire dans la matière et avec des outils qui ne nous échappent pas.

64 pages, A6 et souple pour se glisser dans une poche de pantalon ou un sac banane, pour s’emmener partout. Au début de chaque carnet, il y a un petit texte que j’ai écrit. Comme une invitation peut-être à écrire ou dessiner, à suspendre le temps, à le prendre, à se lancer en tout cas, se lancer sur les pages vides.

J'ai une affection très particulière pour ces moments un peu fumants du matin, quelle que soit la saison, en solitaire, quand on peut s'attarder sur ce qui nous entoure, regarder au loin et dans le vague ou très précisément en soi. J'aime le café, tout ce qu'il raconte, sa force, sa douceur, comme il enveloppe, comme il éveille, toutes ses facettes. J'ai l'impression qu'il me rend fertile en idées et je le trouve alors indissociable d'un carnet. Un moment à soi.

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