“Les vignes de Muriel se répandent sur 7,5 hectares d’un seul tenant. Elles ondulent, penchent à gauche ou à droite, montent, culminent, redescendent, comme une grande toile de tissu. Tout autour, il y a des champs, certains cultivés, d’autres non, des collines qui rebondissent et des morceaux de forêts qui se fondent dans le ciel. On est à 200 mètre d’altitude, c’est ce qui donne cette impression que le rond des monts implore le ciel.”