Une succession de portraits à double sens est née. À double sens, car à travers ce voyage, qui rencontrais-je davantage, eux, elles, ou moi ? Voilà peut-être pourquoi ces écrits sur le vin sonnent si intime. Ce sont les débuts de Chassez le Naturel.
J’ai cultivé ma propre façon de raconter le vin, toujours en partant du coeur et du ressenti.
Ce voyage étalé sur plusieurs mois et années a été fondateur. J’ai appris à rencontrer l’autre, exploré les abysses de la solitude, de l’errance, la liberté inépuisable. J’ai appris à regarder et ressentir la nature, à me relier à moi-même et au monde.